Sur le blog de 18h39 de Castorama, j’ai découvert un (ancien) article intéressant intitulé « Un Airstream au fond du jardin, synonyme de liberté ». Aux Etats-Unis, et plus précisément en Caroline du Nord, un jeune couple, Mélanie et George ont décidé que pour vivre mieux ils vivraient dans plus petit. Ils ont acheté un vieil Airstream qu’ils ont entièrement refait à leur goût et qu’ils ont ensuite disposé sur un terrain appartenant à la famille de George. Ils ont certes moins d’espace mais y ont gagné en qualité de vie : fini les loyers exorbitants et les dépenses assommantes. Ils ne voulaient plus de cette vie faite de privations malgré leurs deux salaires ; une vie qui ne leur offrait aucune perspective d’évolution. Désormais ils peuvent vraiment consacrer leur budget à leurs loisirs et à ce qu’ils aiment. Et au-delà de l’aspect financier, vivre dans un micro-logement permet d’entrevoir les relations humaines sous un autre angle. L’espace restreint de l’habitation oblige à mieux communiquer mais également à se libérer d’une multitude d’objets trop encombrants. Une liberté financière et matérielle qui ne les empêche pas de vivre tout à fait normalement. (Découvrez leur histoire complète et plus d’images de leur Airstream en cliquant sur le lien plus haut ou en cliquant ici. Découvrez également leur blog complet A small life). L’Airstream de Melanie et George au fond du jardin. Ce type d’histoire m’inspire particulièrement et on voit fleurir sur la toile de plus en plus de récits du même genre. Cela fait également écho au super compte Instagram que je suivais régulièrement (elle a décidé de fermer son compte) de @libre.et.sauvage (la vie comme elle vient) qui a décidé de vivre dans une caravane refaite à neuf, leur Coquille comme elle l’appelle, avec mari et enfant. Une vie faite de simplicité et de liberté où l’humain reprend toute sa place et est au cœur des relations. La Coquille de Libre.et.sauvage au milieu d’une clairière. Crédits photos: A small life; Libre.et.sauvage